Ma recette du bonheur au travail en 5 points

La création, l’entrepreneuriat, j’y suis venue par hasard…

ou plutôt les hasards de la vie, les déménagements et séjours à l’étranger, ont fait que j’ai dû m’adapter aux changements.

Mon parcours en quelques lignes ?
Après une douzaine d’années à travailler dans le privé en France, à des postes où je m’épanouissais, je quitte tout pour suivre – et c’est bien naturel – M. Lulu Factory muté à l’étranger. Deux pays en 9 ans, nos deux filles grandissant, ce ne fut pas toujours simple de rebondir ou tout simplement de trouver mon équilibre, mais là n’est pas l’objet des propos qui vont suivre.
Chaque situation comporte des avantages et des inconvénients, nous en sommes tous conscients.

Ce sont précisément ces interrogations, ces remises en question subies qui furent à l’origine de Lulu Factory, alors que je m’ennuyais derrière mon écran, avec un “vrai” travail !

Je vous la livre ?

Une dose de liberté

Là, je vois bon nombre d’entre vous venir…

C’est cool de travailler à la maison, tu peux t’organiser comme tu veux !

Combien de fois avez-vous eu des réflexions de ce type ?
Certes, nous sommes d’accord que travailler à domicile apporte une plus grande flexibilité, mais il reste néanmoins des délais et engagements à tenir auprès de sa clientèle… comme dans toute société, sauf que dans le cas des auto-entrepreneurs, nous sommes souvent seuls face aux manettes…

Par liberté, j’entends donc cette quête de liberté d’être seul à guider le navire.
L’entrepreneur n’ayant pas de hiérarchie au dessus de lui, il a une grande liberté d’actions.
Ensuite, ce n’est pas toujours évident de faire le bon choix sans pouvoir consulter ses collègues.
Pour ma part, je suis souvent mon instinct ou recueille les avis de mon entourage toujours bienveillant.

Une grosse pincée de création

Je vous raconte l’histoire de la naissance de Lulu Factory ?
C’est alors que j’avais un travail passionnant ennuyeux, alors que nous habitions aux Pays-Bas, que l’idée de créer Lulu Factory est née.
Je savais comment occuper mes journées (et mes deux mains !) autrement qu’en attendant sagement derrière un écran d’ordinateur…
Alors je me suis lancée, j’ai vite été passionnée par la blogosphère, participé à des concours créatifs et même été élue Meilleur blog créatif par Marie-Claire Idées en décembre 2012… ça commence à dater !

Le processus créatif était en marche, je m’amusais… simplement, en suivant mon instinct.
Et comme les idées naissent souvent de nos envies, j’ai créé MON sac.
Le premier sac luluflor voyait le jour…
Il vous a plu, j’en ai refait, et l’histoire continue encore aujourd’hui, à plein temps.
Bien sûr, la gamme s’agrandit, s’épanouit, toujours au gré de mes besoins personnels ou de ceux de mes proches.
Ainsi, Lulu Factory s’adresse aujourd’hui aussi aux hommes 🙂

Une poignée de diversité

Auto-entrepreneur rime avec polyvalence.
D’ailleurs, est-ce par hasard que j’ai toujours presque toujours (à l’exception du dernier poste évoqué plus haut !) occupé des postes dans des structures où tout était à construire, où je pouvais moduler mon poste, le faire évoluer, avoir des tâches très variées ? Des petites entités ou des divisions à taille humaine dans une grande entreprise, je m’y sentais bien à coup sûr !
C’est aussi précisément pour cela que j’aime tant mon métier.
Je ne conçois pas la création sans toutes les autres facettes (et elles sont nombreuses, j’y reviendrai dans un prochain article) que constituent le statut d’auto-entrepreneur. Être multi-tâches participe à mon épanouissement professionnel mais aussi personnel.

Ma formation initiale ? Le marketing international.
Sans aucun doute, je peux affirmer que mes études me servent quasi quotidiennement…
Mais le marketing a beaucoup évolué depuis les bancs de l’école. On ne parlait pas de réseaux sociaux, de SEO et bien plus encore de mon temps…

Entreprendre = apprendre, progresser

Être auto-entrepreneur, c’est aussi se remettre en cause, évoluer avec son temps, s’adapter.
Ainsi, j’ai décidé que je n’étais pas trop vieille (que celui qui l’a pensé lève le doigt !) pour continuer à me former.
Je ressens ce besoin, cette soif d’apprendre qui m’anime et me motive aussi, l’envie d’aller plus loin, de m’améliorer, de me perfectionner.
Et je reviens à mon premier amour, le marketing… digital cette fois, formation délivrée par LiveMentor.
Je viens juste de m’y plonger, et je peux vous dire que je suis comme une gamine, passionnée comme au premier jour !!!
D’ailleurs, j’ai déjà fait une refonte légère mais chronophage (l’inconvénient quand on fait tout soi même sans être expert) de la page d’accueil de mon site.

Ça vous plaît ? N’hésitez pas à me faire part de vos avis en commentant cet article, je suis preneuse de vos conseils. Toute critique est constructive.

Ah… et si l’une des formations délivrées par Livementor vous tente, écrivez-moi pour recevoir le lien de parrainage et votre réduction !

Et la déconnexion, on en parle ?

Travailler à la maison suppose de savoir aussi s’arrêter.
J’ai la chance d’avoir une pièce de mon domicile dédiée à la création et gestion de ma petite entreprise, mais la tentation est grande de pousser la porte à ses temps perdus…

Première chose que j’essaie de respecter : ne plus consulter mes mails à partir d’une certaine heure (ou heure certaine !) et pendant les week-ends.
Je ne reçois aucune notification sur mon téléphone, ni de ma boîte mails, ni des réseaux sociaux.
Bon je ne dis pas que j’y parviens systématiquement, mais je me soigne !

Ajoutez à cela la famille, et vous avez ma recette du bonheur au travail.

D’ailleurs, c’est l’heure de mon sport… alors je vous laisse me dire quels sont pour vous les ingrédients du bonheur, que vous soyez entrepreneur, salarié, étudiant, maman, grand-père…???

 

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